L'IATSE Facilite 100 000 lettres au congrès dans le cadre de la campagne « CARES act »

NEW YORK, NY — NEW YORK, NY - L'IATSE a annoncé mercredi que les membres et les alliés ont envoyé plus de 80 000 lettres en deux jours au Congrès exhortant les législateurs d’inclure les travailleurs mis à pied du divertissement dans un programme d'aide fédéral. Une lettre connexe rédigée par le membre du Congrès Adam Schiff est distribuée sur Capitol Hill et contient une liste sans cesse croissante de partisans au Congrès. 

Les productions ayant été annulées dans tous les secteurs de l'industrie du divertissement, la situation de la COVID-19 est devenue si grave pour les travailleurs du divertissement qu'elle nécessite une action décisive de la part du gouvernement fédéral. Les travailleurs pigistes du divertissement qui s'attendaient soit de travailler pendant une journée, une semaine, un mois ou une saison sur une production se retrouvent sans salaire ni avantages sociaux prévus. L'IATSE travaille sans relâche pour s'assurer que tout programme d'aide économique permette à des centaines de milliers de familles du divertissement à travers le pays de continuer à payer le loyer, à mettre de la nourriture sur la table et à prendre soin de leurs enfants malgré l'urgence de la santé publique.

Bien que la loi bipartite du « Families First Coronavirus Response » (HR 6201) soulagera les travailleurs d'autres secteurs, les dispositions sur la table concernant les congés d’urgence payés ne s'appliqueront pas aux travailleurs du divertissement mis à pied en raison des exigences relatives aux jours de travail pour être qualifier.

La nature unique de l'industrie du divertissement signifie que de nombreux professionnels créatifs peuvent ne pas travailler tous les jours, voir tous les mois. Les programmes de congés payés existants ne s'appliquent généralement pas à cette main-d'œuvre. Les travailleurs du divertissement dépendent des revenus de chaque projet qu'ils réservent à leur agenda pour s'assurer qu'ils peuvent subvenir à leurs besoins et qu'ils peuvent se qualifier pour participer à nos régimes de santé négociés collectivement. Les règles conçues spécifiquement pour la relation traditionnelle d'un seul employeur, ou même pour le travail multi-employeurs dans le secteur de la construction, sont susceptibles d'exclure nos membres et les pigistes du divertissement en général.

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Jonas Loeb
L’équipe des Communications - IATSE
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